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Bonjour, bienvenue aux personnes sensées, soucieuses de comprendre ce phénomène de société: "le culte du tout sauvage". Culte qui nous conduit vers une société dans laquelle tout est planifié pour servir des lobbys dont le but est la stérilisation de nos vies par, entre autre, la perte de savoir faire ancestraux et sages, afin d'avoir la main mise sur l'indépendance des peuples.(ouragan)
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grâce à un savoir et une vision emmagasinés à travers d'innombrables générations. (Stephen Corry)
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Mes articles sont régulièrement mis a jour, soit par l'actualité les concernant, soit pour en rectifier des erreurs (que vous pouvez me signaler). Ils évolueront donc dans le temps, jusqu'au jour ou une solution pérenne, pour la sauvegarde des ruraux qui vivent de et en accord avec la nature, soit adoptée par nos gouvernements.
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vendredi 12 septembre 2014

COMPRENDRE LE MÉCANISME DE L’ÉLIMINATION PROGRAMEE DU PASTORALISME

Qui tue le pastoralisme ?

* Accord / Manifeste de cohabitation (et ses principes fondamentaux), signé à Bruxelles le 10 juin.
* Les "actions clés" de la plateforme de coexistence entre les grands prédateurs et l'homme.
* Statut du loup et Chasse -"Régulation" ou "Exclusion" ?

Récapitulatif par « chapitres »
* Accord / manifeste de cohabitation
(Résumé)

La « Plateforme » sur la coexistence entre les Grands Prédateurs et l'homme :

Le 10 juin à Bruxelles, sous l'égide de Janez Potocnick commissaire à la DG de l'Environnement de la CE (Direction Générale de l'Environnement de la Commission Européenne), 8 organismes ont signé avec le commissaire un manifeste de conservation des grands carnivores – un accord de cohabitation … un condensé du « manifesto » 2013 du LCIE (Large Carnivores Initiative for Europe).
(Le LCIE, créé par la WWF en 1995, un groupe de l'Union de Conservation Internationale de la Nature (UICN), mène le dossier grands prédateurs en Europe).

NB : Un manifeste est "une proclamation écrite par un groupe qui souhaite proposer un programme." .. et quel programme !
Les 9 signataires de la nouvelle "plateforme".
1) La Direction Générale de l'Environnement de la Commission Européenne.
2) L'UICN : L'Union Internationale pour la Conservation de la Nature.
et ses alliés :
3) WWF
4) CIC : Conseil International de la Chasse et de la Conservation du Gibier; membre de l'UICN.
5) Europarcs ; membre de l'UICN
6) ELO : Organisation européenne des propriétaires forestiers. Grand partenaire de Syngenta (pesticides / semences) comme le Copa-Cogeca et bientôt l'UICN ...
ainsi que
7) Les éleveurs de rennes scandinaves (totalement dépassés avec 60 000 à 100 000 victimes/an et 6 espèces de prédateurs !) et partenaire du WWF par ailleurs.
8) La FACE (Fédération d'Associations de Chasse Européenne); membre de l'UICN. (NB : n'a pas le monopole dans tous les pays.)
9) Le Copa-Cogeca regroupant le syndicalisme agricole majoritaire européen (pour la France : FNO / FNSEA / JA) et également l'APCA (Chambres Agriculture) (NB : ne représente pas l'ensemble des éleveurs en France).
8 et 9 sont partenaires … 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8 sont partenaires et se subventionnent, se sponsorisent ...
La FNO préside le groupe ovin Copa-Cogeca (signataire) et le président de la FNSEA est un des vice-présidents du même Copa-Cogeca.L'implication et la responsabilité de la France sont donc très engagées, très importantes.

On ne peut pas se dédouaner de la signature de l'accord en disant que la France était noyée dans la masse des décisions des autres pays membres ! - au contraire, la France s'est fourvoyée dans d'énormes responsabilités
.
Cette décision a été prise sans consultation démocratique  dans les endroits "haut placés", dans la sphère des accords financiers.
Le Copa-Cogeca a préféré décider seul, sans se référer aux syndicats et associations non membres de leur organisation et semble-t-il sans se référer au niveau local et régional à l'intérieur de ses organismes membres.

Il n'est nullement question de protester que le Copa-Cogeca aurait dû recourir à la politique de la chaise vide mais de dénoncer le fait que seuls les représentants du Copa-Cogeca s'y soient assis.

Il ne faut pas ignorer ou minimiser la portée et les conséquences de
l'accord de cohabitation signé à Bruxelles et des "actions clés" y afférentes qui seront proposées et prendront effet sous peu.

Accord (L'accord)
* Les signataires reconnaissent le cadre législatif existant de la Directive Habitats.

"Le « principe » de non-régression en matière d’environnement, « selon lequel 
les dispositions (…) nécessaires pour protéger l’environnement et la 
biodiversité ne doivent pas entraîner de recul dans le niveau de protection 

déjà atteint »"
Or, pour sortir de la protection de l'espèce - ce qui est demandé par la profession et de nombreux élus - il est nécessaire de modifier la Convention de Berne.
Mais seul un BILAN de la Directive Habitats est prévu, parallèlement et conformément à la Directive.
Le jour de la signature du manifeste, il n'a nullement été question de changer le statut du loup – ce n'est donc pas pour cette raison que les signataires, dont les représentants du Copa-Cogeca, s'y sont rendus ; même s'il a été écrit le contraire.http://www.lafranceagricole.fr/actualite-agricole/predateurs-lancement-de-la-plateforme-grands-carnivores-89903.html

* Les signataires reconnaissent que "les loups font partie intégrante des paysages" (zones de pâturages et d'élevage / zones habitées / zones de loisirs comprises)

* Les signataires s'engagent à trouver des "solutions pour faciliter la coexistence (alors qu'il n'y a pas de solutions ..)

*  en acceptant des
compromis,
. ainsi que des études / business ... des tests sur la coexistence / protection (ad vitam aerternam.) (n° 4 et 5 en bas de la feuille dûment signée)





Accord (La coexistence) … Coexister avec le loup ?  ... est-ce donc possible ?

En réalité, les éleveurs sont des cobayes d'expérimentation de coexistence car, comme John Linnell 2014 (LCIE) écrit  "cette expérience n'a jamais été tentée auparavant" .../...
... / ... "Nous essayons maintenant de trouver un moyen de coexister avec eux
(les grands prédateurs ndlr), même si personne ne sait à quoi cette coexistence va ressembler à la fin".

"L'initiative pour la conservation et la gestion durable des grands carnivores" impliquera nécessairement "la conservation et la gestion sans fin des conflits".

Car effectivement, nulle part sur cette terre, à aucun moment de l'histoire de l'homme, n'a existé une "coexistence" réussie et durable avec le loup parce que :
* le loup s'attaque et s'attaquera toujours aux animaux domestiques, quelle que soit la méthode de protection – à moins de faire de l'élevage hors sol, hermétique au loup ; (est-ce le but ?)
* parce que le loup s'attaque à la faune sauvage sur laquelle l'homme s'est réservé un droit de chasse depuis la nuit des temps. ;
* parce que quand le loup côtoie les « paysages multifonctionnels » et à fortiori si on régule son nombre au lieu de l'exclure des zones d'élevage et des zones habitées, le loup s'hybride, se croise inexorablement avec les chiens (le coyote et le chacal aussi) et l'on se retrouve dans une situation inextricable due à l'hybridation (comme en Italie) : jusqu'à 2 portées par an, des individus plus résistants et plus nombreux ; perte de la crainte de l'homme. (L’Italie mentionne des meutes de 15 à 18 individus depuis quelque temps … l'Allemagne une meute à portées multiples avec 13 louveteaux)
Le LCIE / UICN, lui -même, nomme l'expérimentation du loup dans les paysages multifonctionnels européens un "challenge", un "défi".
(Guidelines for population level management plans for large carnivores ». LCIE 2008 - 6.4 p.27)
Appelons un chat un chat, c'est un échec total et un désastre et cela le restera tant qu'on essaiera de faire coexister ce qui ne peut pas coexister.
Accord (Le contenu de l'accord)
Les principes fondamentaux
Les participants de la plateforme ont signé un accord de coexistence, un manifeste de cohabitation avec les grands prédateurs, basé sur 5 principes fondamentaux ("core principles") dont la FACE et la FNC ont omis "l'essentiel" de la traduction dans leurs communiqués (!)
1) Les signataires s'engagent à travailler dans le cadre législatif existant qu'ils reconnaissent de facto comme adéquat avec ses « restrictions » et ses « opportunités » (FACE), alors que les représentants de la profession, les éleveurs ainsi que de très nombreux élus en France, proclament qu'il est nécessaire de changer le cadre législatif de toute urgence.
Les signataires seront invités (comme tout un chacun) à participer à un "Fitness Check", un bilan périodique de la législation de la nature, prévu dans l'article 17 de la Directive Habitats et actuellement en cours. http://ec.europa.eu/environment/nature/legislation/fitness_check/index_en.htm
Le « Fitness Check », c'est comme si on cherchait à peindre une ruine en rose pour cacher les malfaçons.
Si la question est soulevée à la « Plateforme » (car les signataires auront l'occasion de donner leur opinion comme toute partie prenante), cela ne pourra qu'être une mascarade entre ceux qui sont à la fois juges et partis de leur propre législation … et les signataires qui ont reconnu le cadre législatif comme adéquat dans ses « restrictions » et ses « opportunités » ( !)... Mais quelles « opportunités » donc ? Celles de prélever un nombre de loups inférieur à son taux de croissance annuel ?
Une mobilisation se fait donc autour de la Directive Habitats or, c'est la modification de l'article 22 de Berne (qui ne devra pas être « revisitée » au « Fitness Check ») qui est nécessaire (comme soutiennent les Suisses et de nombreuses associations en Italie ou en Suède), afin que chaque pays puisse « émettre une réserve » dans le temps pour toute espèce de faune ou de flore devenue invasive.
Les participants pourront revisiter, dépoussiérer et repolir la Directive Habitats tant qu'ils veulent, la législation sur la protection du loup ne changera pas.
"L'ambition de la Commission n'est pas "de revoir la Directive « Habitats », comme le souhaitent de nombreux éleveurs."
http://www.lafranceagricole.fr/actualite-agricole/predateurs-lancement-de-la-plateforme-grands-carnivores-89903.html

Les représentants du Copa-Cogeca France (dont la FNO / FNSEA) ont pourtant soutenu qu'ils se rendaient à la plateforme pour changer le statut de l'espèce.
Or, le rôle de la plateforme n'est pas de discuter Directive Habitats mais de promouvoir la cohabitation.
Le "Fitness Check" (le fameux bilan périodique décrit plus haut) qui se déroule en parallèle doit "améliorer" la Directive Habitats, pas la diminuer.(Janez Potocnik le 10 juin).. autrement dit ... on risque de la durcir à certains endroits (!), l'assouplir à d'autres.
Pire, le Copa-Cogeca a demandé à Bruxelles le 10 juin une flexibilité et une adaptation de la législation adaptées à des situations locales - ce qui ressemble étrangement à du zonage (techniquement, biologiquement impossible).
Or, la législation devrait être adaptée à TOUTES les situations locales en France et d'Europe sans exception, la totalité des zones d'élevage et de zones habitées mais encore une fois la « Plateforme » ne sert pas à ça…

2) Utiliser des données scientifiques (surtout celles du LCIE - alors qu'en matière de protection et de gestion des grands carnivores il y a toujours eu davantage de preuves de manipulations, de mensonges et d'abus qu'une "base de connaissances").
3) Voici un oubli notable :
Les signataires reconnaissent que les grands carnivores font partie intégrante des paysages multifonctionnels
Partie intégrante, présents partout, dans les zones d'élevage et les zones habitées comprises.
Selon quels critères ? Ceux de la LCIE / UICN bien sûr !
Des critères qui font partie du "challenge", du "défi", d'un pari (
LCIE)… Le tout imposé par des « comités scientifiques » (les leurs) qui déclarent savoir mieux que les autochtones, les chasseurs et les éleveurs ou l'histoire.
4) Un autre oubli notable :
La « Plateforme » doit trouver des « solutions » pour « faciliter la coexistence entre les humains et les grands carnivores », grâce au dialogue constructif.
Voici un accord fondamental de coexistence, de cohabitation. Et même quand les solutions n'existent pas, il faut les trouver en discutant !
5) Coopération transfrontalière en s'appuyant sur l'ouvrage des « lignes directrices » du LCIE - la seule bible autorisée et imposée par la CE.
Il y a également  6 petits points totalement oubliés, qui sont particulièrement importants pour la profession :
Les signataires s'engagent à :
1) partager leur expertise et expérience

2)
écouter, discuter ..

3)
dialoguer .. et accepter des compromis
En réalité, ce sont les signataires qui se sont compromis ….

Les « aides à la reconversion », comme proposées à la profession lors d'un Groupe National Loup, font-elles partie des compromis qu'il faudra accepter ? La fin inéluctable du pastoralisme, fait-elle partie des compromis ?

4) accepter des exemples de bonnes pratiques (méthodes de protection auxquelles le loup s'adapte ...) pour une coexistence réussie entre les humains et les grands carnivores ..
5) tester ces "bonnes pratiques"( = business et expérimentations des méthodes de protection ad vitam aerternam ..)

A la « Plateforme de cohabitation », Janez Potocnik, Commissaire Européen de l'Environnement, a cité Stephen Hawking qui a dit que "l'intelligence est la capacité d'adaptation".
Mais Einstein aussi a dit que "la folie c'est de répéter les mêmes erreurs et de s'attendre à un résultat différent".

Cela fait 20 ans que les éleveurs sont des objets d'expérimentations. Cela fait 20 ans que les éleveurs sont minés par le business de la protection.
6) garantir leur capacité à s'engager pleinement dans ce travail.Il fallait TOUT refuser en bloc . ..Toute la mascarade de la CE / LCIE / UICN / WWF
Il fallait boycotter la signature de cet accord de coexistence ... PAS la réunion. Imposer les conditions du dialogue – ne pas accepter un manifeste/accord de cohabitation comme point de départ !
Il fallait imposer le dialogue SANS l'accord de cohabitation, sans le condensé du manifesto LCIE et se référer démocratiquement aux acteurs concernés, non invités, écartés, mieux au fait de la situation.
Il fallait inviter les vraies parties prenantes. C'est un scandale.

* "Actions clés"
Les "actions clés" sont des plans d'intervention pour une "coexistence" avec le loup (hypothétique et fantaisiste), dont la liste a été soigneusement préparée par des membres du LCIE et son président Luigi Boitani.
Ces propositions, qui doivent être validées à l'automne/ hiver 2014 / 2015 et pour certaines démarrer en « urgence », ont déjà été passées en revue par les signataires et participants de la « Plateforme » et deviendront l'outil stratégique (et très rémunérateur pour certains) les 5 prochaines années.D'une façon générale il est prévu
*que l'espèce devra être gérée en tant que population (10 populations, pour la plupart transfrontalières), non plus uniquement au niveau national - en préparant des voies de connexions, des "corridors", en vue de l'expansion et du brassage génétique de l'espèce (c'est à dire fabriquer un "canis mixus" à la place d'un "canis lupus").


* de possibles transferts d'individus ("translocations") pour garantir l'expansion de l'espèce et de prendre en compte les grands prédateurs dans toute future étude d'impact pour éviter la "fragmentation de l'habitat" et des infrastructures gênantes (!).
* un durcissement au niveau légal en cas de prélèvements illégaux et des équipes de chiens pour détecter toute présence de poison.
* de la promotion pour l'écotourisme
* de la propagande - "l'éducation" du public, des médias et des professeurs / élèves
* des subventions ... mais également des assurances pour indemniser les pertes
* des chiens, toujours des chiens, davantage de chiens
… des workshops et de l'assistance technique de prévention ...
On ne soulève jamais la question de prélèvements de l'espèce dans les "actions clés" mais qu'il est nécessaire de trouver des solutions de protection, (alors que l'on connaît leurs limites !) en soulignant que si on tue des loups, il faut 2 ou 3 ans grand maximum avant que d'autres occupent leur place. ("Niche écologique" ndlr)
On propose ainsi :
... des filets électriques - de 1m70 de haut (très pratiques (!) et meurtriers en cas de panique du troupeau).
... des aide-bergers (Équipe de jour, équipe de nuit ?)
.. l'indemnisation (en pensant toujours que c'est une solution)
... encore et toujours des chiens de protection (plus nombreux, des races miracles plus agressives et des ennuis / risques supplémentaires)

En fait, la « Plateforme » voudrait répandre les moyens de protection qui ne marchent pas en France dans d'autres pays européens.
Et en France, on voudrait faire adopter des pratiques traditionnelles venant d'autres pays – des chiens de protection divers qui n'empêchent pas leurs troupeaux d'être attaqués pour autant !
Ces pays essaient de gérer leur situation au mieux à l'aide de meutes de chiens de protection très dangereux, pour la plupart hybridés avec le loup et des hordes de bergers sous-payés en gîte et couvert. Leur gîte se trouve au milieu du troupeau - ce sont des peaux de bêtes dans un couchage, fait de clous et de planches, à la belle étoile.
Totalement inconcevable en France, que ce soient les conditions de vie des bergers sous-payées ou des meutes de chiens féroces.

En particulier, dans la "population alpine" (donc la France) il est prévu

* la création d'un comité alpin (encore un "truc" de plus).
* de définir des zones de conservation prioritaires (et voilà le zonage qui arrive)
* de favoriser la connexion entre populations (brassage du "canis mixus")
* des ... chiens ... encore du business chiens, toujours davantage de chiens ….. label, standards, stud-books ...et à cet effet, on voit réapparaître ... la Pastorale Pyrénéenne et la Société Centrale Canine (les mêmes organismes que pour les tests sur les chiens de protection qui avaient pourtant été écartés) ainsi que des "organismes ovins", non nommés … en plus, c'est une action prioritaire ….


En début 2014, il y a eu un mouvement associatif pour empêcher ces tests que les FNO / SCC / Pastorale Pyrénéenne devaient organiser avec l'administration et le gouvernement français. Fin 2014, ce sont les mêmes qui vont réapparaître via la Commission Européenne et grâce à la signature du manifeste du 10 juin.
On s'en va par la petite porte, on entre par la grande  … et de toute urgence ...
Comment s'attendre à ce que les représentants du Copa-Cogeca disent non quand ils ont déjà dit oui (?!) en signant l'accord de cohabitation comme point de départ de toute discussion ... et quand la Pastorale Pyrénéenne / Société Centrale Canine sont les partenaires de ceux qui président le groupe ovin Copa-Cogeca ?
Il n'y a pas de marge de refus / discussion quand le point de départ est un accord de cohabitation, de compromis et d'expérimentation.

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Lynda Brook : Wolf Education International (en Français approximativement : enseignement sur la biologie et l’éthologie du loup)

RESTE A SAVOIR A QUI PROFITE LA DISPARITION DU PASTORALISME?